Cœur de l'Euphonie Gestuelle du Samadeva, la séance-type est structurée de façon à répondre aux besoins les plus vitaux des hommes et des femmes d'aujourd'hui.
La pratique régulière de nos séances-types a des effets positifs au niveau physique, psychologique et énergétique, et donne aussi la possibilité d'être davantage et plus intensément à l'écoute de soi-même et des autres.
Energie
* 1h10 La séance type d'euphonie gestuelle du Samadeva (Yoga derviche – Yoga de Samara)
- dure entre 1h10 et 1h15, et comporte 8 séquences : un recentrage ou retour au calme, et des mouvements préparatoires, en position assise des étirements des mouvements dynamiques (danses dissociées) des Arkanas majeurs des mouvements méditatifs (représentant les lettres de l'alphabet dans l'espace) un nouveau recentrage une relaxation et un moment de partage (ou de silence) Dans leur grande majorité, les enchaînements visent – par leurs mouvements d'ouverture des bras, d'assouplissement de la nuque ou de redressement de la colonne vertébrale – à créer une plus grande amplitude de la cage thoracique, donnant ainsi plus d'espace au diaphragme et aux poumons habituellement comprimés.
La détente du diaphragme a un effet direct sur le vieillissement et la longévité, car de cette détente dépend l'oxygénation des systèmes organiques.
D'où la nécessité de respirer correctement, d'autant que les tensions musculaires chroniques passent la plupart du temps totalement inaperçues.
Respirer plus librement induit également une attitude de plus grande confiance et d'ouverture à la vie, dont on peut accepter sans peur les risques à chaque instant.
L'énergie refoulée, enfouie, bloquée au plus profond des muscles peut remonter et s'exprimer – rayonner
- si les tensions se dénouent.
Il est proposé de toujours accomplir ces mouvements sans forcer, sans se comparer, sans se juger, calmement, et avec le plus de conscience, le plus d'attention possible.
Ils s'apprennent essentiellement par imitation, ce qui nécessite aussi de l'attention.
La séance est ainsi conduite avec le minimum de paroles nécessaire, laissant chacun à ses découvertes, ses observations, ses expérimentations personnelles, et évoluer à son propre rythme.
Idris Lahore explique que les mouvements lents développent une certaine capacité de réceptivité
- ils permettent de se préparer à la concentration, à la façon de ramasser l'attention, de se charger d'une énergie de qualité supérieure
- tandis que les mouvements rapides développent davantage la capacité d'agir vers l'extérieur.
Ce pourquoi la plupart d'entre nous
- du fait de nos problèmes d'affirmation de nous-mêmes vers l'extérieur
- a un intérêt naturel pour les mouvements rapides.
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De plus, la lenteur révèle l'agitation permanente dans laquelle la plupart d'entre nous vit, et cette prise de conscience peut ne pas être agréable ! Mais, petit à petit, le goût croissant pour ces mouvements lents devient comme un baromètre de notre maturité émotionnelle.
C'est une véritable méditation en mouvement qui est proposée là, l'apprentissage d'une immobilité autant physique qu'émotionnelle et intellectuelle qui permet d'entrer peu à peu en contact avec des dimensions plus profondes de son être.